Et un schéma classique pour l’antépénultième jour, un ! Le fameux cross-frite de Jean-Bert fut accompagné par 2 stagiaires, Jeanne-Berthe et Jeanne-Jacqueline. Le déjeuner combla nos gustatives papilles par le succulent tresse-mélasse. La réflexion du jour, par Daniel, focalisa sur le mal et la violence qui régnaient sur la terre, avant que Dieu agisse radicalement (Genèse 6 pour les intéressés). L’activité de l’après-midi mit en place un jeu inédit : otages. Comme son nom l’indique, cela mettait en scène des otages, contenus par des contrebandiers et qui devaient être délivrés par des policiers. Pendant ce temps, l’autre moitié du camp s’épanouissait au mythique poule-renard-vipère riche en rebondissement (renards attrapent poules, qui attrapent vipères, qui attrapent renards). L’abondante averse obligea le jeu de nuit à une improvisation à l’intérieur : LE jeu de numéros, où 2 équipes devaient déloger une équipe de défense. Au final, la défense ne remportait qu’une partie sur 4.

Quoi de mieux pour un réveil qu’un cross-frite matinal ?

 

Jean-Bert (à droite, avec le bandeau rouge) qui s’investit sans compter

 

La banderole qui annonce le sport matinal

 

Le champ de bataille du  poule-renard-vipère

 

Bref débrief entre les parties

 

Une équipe attaquante sur leur garde

 

Les attaquants assaillent l’enceinte

 

L’enthousiasme se lit même dans le dos des assiégeants