« On peut pas être heureux sans Dieu, même si on a tout ce qu’on veut. »
Cette citation fut entendue dans la discussion après le film The Truman Show de ce soir. Une belle réflexion sur la vie et l’identité. La soirée film a clôturé une belle journée de camp, tranquille, posée, en toute amitié. Malgré les quelques antagonismes présents pendant le tournoi multisport, c’est le fair-play qui a gagné ; le beau jeu, les belles actions, les cris de guerre et les poignées de main. Les encouragements fusaient aux abords du terrain de unihockey, théâtre de la finale rocambolesque qui s’est terminée aux tirs au but.
On les croyait chenilles, mais ils sont en réalité papillons majestueux. Leurs visages colorés de sourires ravissants, d’yeux brillants. Leurs chevilles couvertes de boue, de pluie et de coups francs dans la lucarne. Les filets ont tremblé. Que ce soit de foockey, de volloot ou de uniholley. (uniholley, qui rime d’ailleurs avec Chollet, nom de famille de nos cuisiniers qui ont enseigné le pain à 4 de nos campeurs…)
Le matin fut occupé entre autres par le message sur la rupture. Genèse 3, désobéissance, mensonges de l’ennemi. Sans pérorer, l’orateur a souligné clairement le fait que nous soyons pécheurs. C’est terrible.
Mais la grâce surabonde. Elle peut couvrir l’immensité et la profondeur de notre péché.
Aujourd’hui en quelques mots : réponse = Jésus, boue, pain, trappes, pizza.