Comme souvent, la sagesse éternelle du papillon,
N’a pas tari de brillantes informations,
Pour qu’ensemble, nos astronautes et spationautes,
Se rendent à Lauterbrunnen galamment et sans faute.
Houston, il n’y a aucun problème ;
La piscine, tout le monde l’aime.
Bouées, slackline, foot à la brésilienne et saltos,
Volleyball, pique-nique et plouf dans l’eau.
Les combinaisons spatiales ôtées,
Nous reprîmes l’oxygène à grandes bouffées,
Avant toutefois d’à nouveau s’essouffler,
Et jusqu’à Isenfluh, courir dans la montée.
L’atterrissage de la sonde et la capsule,
S’est effectué presque sans air et, à la pendule,
On lit le beau temps de 18’52 »,
Ainsi que 12 temps sous les 30 minutes – qu’ils sont preux !
Mais aujourd’hui, le grand pas pour l’humanité,
C’est l’invitation de notre Père à être ses enfants.
Un disciple qui reste éveillé,
Est un disciple qui avec Dieu passe du temps.
Rentrés à Ds Gründerhus, notre de base de lancement,
C’est un jeu d’indices qui a occupé les détectives :
Une affaire de meurtre heureusement fictive,
Qui s’est finalement résolue par d’Hélène l’emprisonnement.
Nous sommes en reconnaissance,
Dieu nous donne la vie, chaque jour.
Comme le papillon qui semble voler dans tous les sens,
Nous voulons gambader avec notre Père et son amour.