Socrate disait : “La sagesse commence dans l’émerveillement.” Il avait peut-être raison.

 

Musique entraînante,
fourberies de la météo,
Brouillard et gouttelettes.
Frite-ness comme bouilloire,

Visage lavé, lavage visé.
Fil dentaire pour les plus scolaires.
Le stratus est grabataire,
Les gouttes tombent. Encore.

Caïn et Abel… et aujourd’hui ?
Est-ce que je laisse le péché me dominer,
Coucher à ma porte ?
Par Jésus, en Jésus, je le vaincs.
La force de renoncer.
Genèse quatre.sept
1 Jean trois.onzedouze.

Des lasagnes succulentes,
Des chasubles orangées.
Des fléchettes astronomiques,
Des lunettes astronautiques.

Des joueurs si lestes,
Rapides et vifs
Que les photographies
Les ont laissés flous.

Soirée de louange douce,
Touchante et dansante.
Des mots vrais, sincères.
Quelques descentes lacrymales,
Pour arroser les grandes ailes
Des papillons de l’espoir.

Et maintenant, je vais me taire.
Nos 27 brebis sommeillent gaiement
Dans leur suite présidentielle.
Ils s’émerveillent, il se réveillent.
On s’émerveille, on s’aime et veille.