Alourdie de 30 minutes, la matinée était grasse.

Le rythme matinal anté-bivouac s’est réenclenché : frite-ness, médit’ perso, petit déj, services, message, tournois.
Dans le carnet de médit’, nous avons tenté de comprendre Babel, comprendre l’orgueil et la désobéissance des bâtisseurs. Galates 5.16 nous a encouragés à marcher par l’Esprit, à chercher une relation avec Dieu dans la durée, au quotidien.

14h30, le Chalet du Fondateur se vide. Orphelins de 27 campeurs partis en médit’ par groupe, nous avons installé la déco indienne et profité du soleil des regains. Ces moments d’intimité en groupe resteront secrètement cachés, entre les arbres et les geais, sous la mousse ou entre les framboisiers.

Les échos sourds du silence ont rivalisé avec les sonorités indiennes. Une soirée forte, qui commence tranquillement. Quelques postes, mémoire et connaissance, communication et odorat, hula-hoop et course en tuk-tuk. C’était ensuite le repas, raïta et muffin aux crevettes pour l’entrée ; riz et poulet à l’indienne pour le plat principal ; et tiramisu aussi aérien qu’une horde de papillons pour le dessert !

Et diverses animations, en slam ou en touches de piano, en choré (du sud) ou en sketch. Deux demi-finales de papier-cailloux-ciseaux remportées 10-8 et 10-9, puis une finale où Samuel s’est imposé 10-5. Le match était beaucoup plus tendu que le score ne le laisse transparaître. Puis, nous nous sommes déplacés pour terminer la soirée autour du feu. Les innombrables étoiles nous observaient des cieux, écoutaient nos chants a capella et se régalaient des cœurs transformés.

Oui, pendant le camp plusieurs jeunes ont pris la décision de suivre Dieu, c’était magnifique ! Dieu répond, il transforme les cœurs ! On est là pour ça et c’est tellement beau de voir du fruit !

“C’est la famille !”

 

Et c’est ainsi que se termine le dernier jour complet de ce camp Aîné 2 2019…