J6 : jour de départ pour le bivouac.

3 itinéraires proposés : “très grande marche” “grande marche” “petite marche”.

Départ à 5h30 pour les 15 valeureux campeurs qui avaient choisi la première option.

Pour les autres, un réveil un peu plus doux et à des heures qui “piquent” un peu moins.

On prépare son pique-nique, on met de la crème solaire, sa casquette, de bonnes chaussures, et en route !

Le temps s’annonce magnifique !

Marche marche marche, pause, marche marche marche marche, pique-nique, marche marche marche, vue magnifique, marche marche marche (petites plaintes passagères), marche marche marche, (ampoules ? ça n’arrête personne !), marche marche marche ETTTTTTTT… arrivée au lieu d’établissement du campement.

Avec des carrés militaires, s’il vous-plait ! Toutes les tentes finissent par tenir debout.

Une équipe de volontaires lance un feu.

Après toute cette “marche marche marche” les estomacs crient famine.

Salade de pomme de terre, saucisse de Morteau au feu de bois, tomates, pain au noix : vous salivez ? C’était en effet délicieux.

On oublie pas les services pour autant. Chacun part faire sa vaisselle à la rivière (glacée bien évidemment).

Une super soirée de chants et témoignages se vit ensuite autour du feu. Crépitements des braises mais aussi des coeurs qui sont émus des vécus partagés et de voir la manière dont Dieu agit dans le cheminement de chacun.

Après toutes ces émotions et dépassements de soi, il est temps d’aller dormir. La nuit est fraiche mais la plupart des campeurs passent une bonne nuit (à l’exception des tentes de ronfleurs).

 

J7

Réveil avec les rayons du soleil. La journée est radieuse.

On ne change pas les bonnes habitudes. Une fois le ravitaillement apporté avec le bus JAB et les tentes chargées… vous devinez ? Marche marche marche !

Les paysages sont sublimes une fois encore.

Montée, montée, montée…

Les campeurs aperçoivent des lacs de montagne bleu émeraude, des bouquetins (désolé, pas de photo), des vautours (pour l’espèce précise de l’oiseau, veuillez vous adresser à David. Il me semble me souvenir d’une certaine histoire de “percnoptère”),  … Avant d’arriver à un point de vue à couper le souffle (“Schwalmere” pour la grande marche et “Schwarze Schopf” pour le reste du camp).

Ceci étant fait :

descente, descente, descente.

Arrivée au camp, gratin valaisan !

Délicieux plat avec fromage, béchamel et pommes de terres. Il faut bien ça pour se requinquer après tous les efforts fournis. “Merci, merci la cuisineE, Merci, merci, la cuisineE” (c’est une chanson ! Demandez à vos enfants de vous la chanter lorsque vous leur servirez à manger !).

Il nous faut conclure, tout le monde a besoin d’une bonne nuit réparatrice.

Nous tenons tout de même à remercier une de nos ferventes lectrices (qui lit même les “PS”) de nous avoir envoyé un très gentil colis (voila de quoi renouveler le stock pour nos cafés staff) !

Et bien sur à tous les autres ! Merci pour vos prières et votre intérêt.