Après avoir gardé la forme, on garde la pêche ! Et les campeurs ont la banane : le staff a rallongé leur sommeil de 30 minutes. La nourriture spirituelle précédait un bon jus d’orange, un fruit et des tartines de pain complet.

Le matin, Géraud nous enseignait des vérités sur la première Eglise, à partir de Actes 2.41-47 et nous a interrogé : « A quoi sert l’Eglise, quel est son but ? ». Il n’a pas raconté des salades. Au contraire, il nous a encouragé à cultiver l’enseignement, la communion fraternelle, la fraction du pain et la prière. Une participation active voyait les campeurs ramener leur fraise. Leurs interventions était comme un nectar à nos oreilles. Une fois le message terminé et quelques chants de louange, on fait place au temps libre. Personne ne poireaute : il est temps d’avancer les tournois après deux jours de trêve pour cause de bivouac. Le repas de midi permettait de se fendre la poire à table. Certains ont un humour à couper au couteau.

Au menu du jour, une activité phare : le repas concours organisé par Matthieu. Six équipes se font concurrence à couteaux tirés avec quelques petits jeux pour se répartir les aliments et les ustensiles dont ils auront besoin. Néanmoins, on ne mettra pas « les petits plats dans les grands » : la nourriture ne sera pas si abondante que d’ordinaire. Les portions sont donc à repartir au milligramme près. Lors de ce concours cuisine, les phrases « les carottes sont cuites » ou « c’est la fin des haricots » ne sont pas prononcées. On ne baisse pas les bras, jusqu’à la fin du temps de préparation et du dressage. La mayonnaise prend quand toute l’équipe est en ébullition. Heureusement que notre équipe cuisine n’est pas aussi stressée que nos campeurs avant de lancer un repas. C’est dans ces moments que les campeurs n’ont pas de tomates dans leurs yeux : ils savent que le staff est aux petits oignons pour eux. Les campeurs sont finalement évalués selon quelques critères par notre équipe cuisine. Les résultats seront communiqués demain aux campeurs.

Lors de la veillée, Isaline nous conduisait dans une soirée énigmatique de type Cluedo. Se mettant dans la peau des personnages, le staff rendait l’animation pimentée mais devait éviter de mettre les pieds dans le plat. Les campeurs mirent la main sur le voleur, comme s’il avait été vu en flagrant délit, la main dans le sac. L’individu démasqué intoxiquait son environnement pour ses vols, ce qui représente un poison pour notre société, au même titre que les autres péchés.

Le staff aîné 2.

A ce poste, les équipes se battent pour des épices qu’ils doivent nommer

Si les ballons d’eau touchent les ustensiles suspendus sur une corde, c’est dans le mil(le)

Des postes sports sollicitant des muscles solides et saillants

Non, les carottes ne sont pas (encore) cuites

Cent patates pour un menu à trois francs six sous

Un service sans vice, ça fait « ser(s) » !

Une nappage appliqué avec qualité

L’ensemble de jurés à l’écoute lors de la présentation des menus d’une des six équipes

Une paysanne prenant son rôle à cœur lors de la soirée Cluedo

Dans le cadre de l’organisation de ses camps, la JAB recrute des bénévoles pour faire partie des équipes d’encadrement.

Si tu as plus de 18 ans, des disponibilités pour un camp et l’envie de rentrer dans ce service merci de nous contacter ici pour plus de détails.

On t’attend,

Daniel Eicher (camps JAB Junior)

Manu Eicher (camps JAB Enfants)

 

À vos marques… prêts… départ!

C’est parti pour les inscriptions pour les camps JAB Suisse.

12 camps sont au menu en 2019!

Faites votre choix, on vous attend…

 

Le 2ème camp d’automne à Isenfluh arrive…

Il aura lieu du 22 au 27 octobre et il reste des places!

On t’attend!

 

 

Après l’effort du bivouac, le réconfort d’une journée plus calme …

En ce jour de fête nationale française, les campeurs ont pu profiter d’une demie heure de sommeil supplémentaire bien méritée. Mais le réveil fut bien sûr pimenté par quelques courbatures à cause des efforts de la veille.

C’est pourquoi, une matinée plus tranquille attendait les campeurs avec des petits tournois (baby-foot, ping-pong, badminton) et différents jeux de société afin de détendre les muscles et calmer les esprits.

Même si les muscles sont au repos, tel n’est pas le cas du cerveau avec une petite partie de « petit bac »

En début d’après-midi, place à l’activité phare de la journée. La propriété des camps à Isenfluh s’est transformée en arène pour accueillir ISEN BOYARD (en référence à Fort Boyard, le jeu télévisé français).

Répartis dans 8 équipes, les jeunes devaient s’affronter dans des épreuves physiques et intellectuelles. Ces défis ont donné lieu à une récolte d’indices pour obtenir un mot de passe permettant d’accéder à la salle aux pièces, et du temps pour y rester suffisamment et amasser un maximum de pièces d’or.

Les défis étaient très variés, faisant appel à différentes capacités et qualités : esprit d’équipe, cohésion, confiance en soi, maitrise de soi, connaissance de ses forces et limites, patience, etc.

Célia et Lana en pleine concentration dans l’épreuve des pièces flottantes.

 

Le poste « Memory c’est gagné » consistait à retenir le plus de cartes possibles

 

Chuttttt pas de bruit, le Père Fouras est en train de défier l’équipe marron avec une énigme

 

Heureusement qu’il y avait Camille la mono pour donner de bons conseils lors de l’épreuve des paniers de basket

 

Attention ça mouille! Heureusement qu’il y a le suivant pour récupérer l’eau…

 

Allez, testons les connaissances bibliques des campeurs par des versets à retrouver dans la Bible

 

La contrainte des yeux bandés n’est jamais très agréable…

 

Un match acharné à en perdre son casque opposant Martin à … (anonyme)

Après avoir récolté le plus d’indices et de temps possible, les équipes ont pu chercher ensemble le mot de passe pour entrer dans la salle aux pièces. Une fois à l’intérieur, les jeunes ont dû esquiver tous les pièges avant d’atteindre les pièces et en ramener le plus possible dans le temps qui leur était imparti.

Finalement, après cette journée plus ou moins reposante, les jeunes ont pu découvrir la notion du pain quotidien telle que présentée dans la prière du Notre Père. Ce message amené par Fabien nous expliquait clairement les différentes demandes que nous pouvons faire à Dieu quotidiennement afin de se rapprocher de la sainteté.

« Priez sans cesse, remerciez Dieu dans toutes circonstances : telle est pour vous la volonté que Dieu a exprimée en Jésus-Christ » (1 Thessaloniciens 5, v.17-18)

Le moment du camp le plus attendu de tous, le BIVOUAC…

Et oui, c’est déjà le milieu du camp, que le temps passe vite quand les journées sont bien chargées!

Mais bon, pas le temps de rêvasser, tout doit être prêt pour le grand bivouac ! Avant toutes choses, il est toujours bon de prendre du temps avec Dieu, par la lecture et la méditation de la Parole et c’est ce que les jeunes ont fait dans leur médit’ personnelle matinale ainsi qu’en écoutant le message apporté par Alexis. Il s’agissait d’une réflexion sur la volonté de Dieu et de savoir comment la distinguer de sa propre volonté, ce qui n’est pas toujours évident. De par son vécu, Alexis nous a proposé une approche pratique sur ce sujet, ce qui donne de bonnes clefs pour nous aider dans nos différents choix.

Allez, allez, pas le temps de trainer ! C’est l’heure de se préparer pour le bivouac : sac de couchage, bonnes chaussures, casquette, crème solaire à foison, gourde, habits chauds, bonne humeur, belle dose de motivation et d’ambition.

À 14h, grand départ d’Isenfluh pour rejoindre Lauterbrunnen et prendre un bus jusqu’à Stegmatte, situé dans une belle vallée entourée de cascades et de falaises abruptes. C’est ensuite 2 heures de marche qui attendaient les campeurs avant de pouvoir établir le campement.

Le groupe s’élance à la conquête du lieu de résidence pour cette nuit du jeudi soir, situé au bout de la vallée de Lauterbrunnen.

Arrivée au lieu dit « Im Tal », une petite clairière en fond de vallée, la troupe s’est empressée de construire le campement. Grâce aux précieuses explications de David faites la veille, chaque équipe était suffisamment entraînée pour construire sa lignée de tentes en toiles militaires. Filles comme gars, tous ont mis la main à la pâte pour créer un convivial lieu de campement.

L’entraide, la patience, l’amour, la persévérance, la maîtrise de soi… sont toutes des attitudes qu’il a fallu mettre en pratique lors du montage des tentes.

 

Même pendant le montage des tentes, la pose pour la photo s’impose.

On tient quand même à vous montrer le résultat final avec des tentes qui tiennent debout et qui ont bonne mine. Bravo aux campeurs et aux monos pour cette belle réalisation en collaboration.

Hooooo, il reste des sacs de couchage ! S’il vous plaît, venez-les chercher avant que la pluie ne tombe.

 

Pendant ce temps, une équipe était partie lancer un feu qui servira pour la suite de la soirée, de source de lumière et de chaleur. En effet, en cette soirée du jeudi, trois témoignages ont été partagés, celui de Florien (moniteur), Joël (sous-directeur) et Vincent (aide-technique). Ils ont donc tour à tour exprimé devant les jeunes les différentes étapes de leur relation avec le Père et l’évolution de leur foi jusqu’à ce jour. De beaux moments de joie, de sérénité et de paix régnaient autour de ce magnifique feu.

Même sans instrument, un petit temps de louange a été conduit pour exprimer à Dieu notre reconnaissance.

 

Les campeurs en pleine contemplation du feu, bercés par son crépitement.

Mais il est l’heure de se coucher malheureusement, même si on voulait bien tous rester près du feu et écouter des témoignages nous permettant de booster notre foi. Il ne faut pas oublier que le lendemain, une grande marche attend certains jeunes, les plus motivés.

La nuit a pu être vécue de trois manière différentes : à la belle étoile pour certains, sous tente militaire pour d’autres, mais aussi occupée par le ravitaillement du feu pour ceux qui n’arrivaient pas à dormir ou qui avaient trop froid.

Les jeunes se sont fait réveiller vendredi matin par la fraîcheur et la rosée matinale sous un beau ciel bleu. Une belle journée ensoleillée les attendait, parfait pour marcher…

Après un petit déj sur le pouce, pas le temps de trainer car 40 jeunes motivés se sont rapidement lancés dans l’ambitieuse « grande marche » avec 1700m de dénivelé positif et 1600m de dénivelé négatif. Le but était de rejoindre Obersteinberg en passant par Tanzbedeli avant d’atteindre le lac d’Oberhorsee. Puis, redescendre dans la vallée jusqu’à Stechelberg en longeant le torrent. C’est vrai que ça fait beaucoup, mais tous s’en sont très bien sortis, suscitant l’admiration du staff.

Voici quelques photos pour vous donner envie mais aussi pour que ceux qui ont choisi la moyenne marche puisse se rendre compte de ce qu’ils ont loupé…

Oui oui ça grimpe ! En attendant y’avait le choix de prendre la moyenne marche …

 

Même en haut du Tanzbedeli, à plus de 2100m, Daniel en profite pour faire de la pub pour les camps à Isenfluh.

 

Un long cortège de marcheurs sous la protection de notre Seigneur et entouré par sa création.

Pendant ce temps, l’autre partie du groupe, qui avait choisi la moyenne marche, s’est rendue à Mürren en passant par Gimmelwald, une belle balade avec une magnifique vue plongeante dans la vallée de Lauterbrunnen.

Même si les parcours étaient différents, les deux groupes ont pu se détendre en se baignant dans un point d’eau, glacé à plus de 2000 m d’altitude pour ceux de la grande marche et chloré à 1600 m pour ceux de la moyenne marche.

Ivan en pleine réflexion, se demandant si c’est sage d’aller se baigner dans une eau en-dessous de 10°C. Mais bon, on n’est pas venu là pour rien !

Nous tenons à féliciter chaque groupe (photos ci-dessous), tant ceux qui ont participé à la moyenne qu’à la grande marche, pour leur engagement, leur motivation et leur persévérance mais aussi remercier Dieu pour sa protection lors de cette marche et d’avoir précédé tous nos pas.

Une photo s’impose après une petite baignade glacée dans l’Oberhorsee…

 

Ahhhhh un peu d’ombre après cette journée sous un soleil radieux.

Une belle récompense attendait les campeurs et celle-ci pouvait être détectée à plusieurs centaines de mètres. Il s’agissait des fameuses lasagnes post-bivouac afin de réconforter et redonner des forces aux jeunes après cette éprouvante journée de marche.

Pour la suite de la soirée, l’équipe cuisine avait préparé un parcours de réflexion personnelle, questionnant notre relation avec Dieu et notre rapport au pardon. Une activité riche en émotion, mais nécessaire pour découvrir la paix en Christ et jouir pleinement de son amour.

Mais après une telle journée, difficile de garder les yeux ouverts, c’est l’heure d’aller au lit.

Nous pouvons conclure ces deux jours de bivouac en disant que « les défis de la journée furent ensoleillés d’une myriades de sourires et le sommeil bercé d’une ribambelle de souvenirs » (phrase composée en duo par Baptiste et Sara).

« Je lève mes yeux vers les montagnes… D’où me viendra le secours? Le secours me vient de l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre. Il ne permettra point que ton pied chancelle; Celui qui te garde ne sommeillera point. Voici, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël. L’Éternel est celui qui te garde, L’Éternel est ton ombre à ta main droite. Pendant le jour le soleil ne te frappera point, Ni la lune pendant la nuit. L’Éternel te gardera de tout mal, Il gardera ton âme; L’Éternel gardera ton départ et ton arrivée, Dès maintenant et à jamais. » (Psaume 121)

♫ « À Isenfluh, ça fait 75 ans, que la Jab fait des camps… » ♫

Et oui, aujourd’hui c’est le 75ème anniversaire des camps à Isenfluh. Depuis toutes ces années, des centaines de jeunes ont passé leurs vacances d’été d’abord au Berghaus puis dans le chalet du fondateur où l’on se trouve actuellement.

C’est donc une journée particulière qui a commencé au clairon pour réveiller les campeurs d’une nuit bien méritée après la marche de la veille.

Joël nous fait part de ses talents cachés de trompettiste pour réveiller les troupes.

La journée s’est déroulée sous les commandements de Sir Alexander. Premièrement, c’est sous un levé de drapeau que le camp s’est réuni avant d’entamer une session d’activités sportives. Pompes pour tout le monde, même pour le staff. Et oui, en ces temps-là, ça ne rigolait pas les camps à Isenfluh. Comme on le disait à cette époque : « des hommes virils et des femmes de valeurs ».

Sir Alexander et ses conseillers lors du levé de drapeau en tenue traditionnelle de l’époque de la MAB (nom utilisé avant celui de JAB, signifiant « milice action biblique »).

Afin de revivre pleinement la belle histoire des camps à Isenfluh, quoi de mieux que de se déguiser en conséquence et de prendre une belle photo de famille, comme à l’époque. Gars et filles séparés bien entendu, à un mètre de distance minimum !

Photo de famille comme à l’ancien temps et avec le même sérieux.

La suite de la matinée a été consacrée à diverses activités comme la préparation du repas avec les aliments et les méthodes de l’époque (pommes de terre et viande cuite sur un feu de bois), la fabrication de cordages et de bracelets brésiliens, la réalisation d’un drapeau de ralliement et pleins d’autres occupations palpitantes.

Il s’agissait d’un concours par troupe, où chacune d’elle devait gagner le plus de points dans les différentes activités proposées. C’est le groupe de Camille qui a remporté le concours avec au menu des steaks sur leur lit de légumes sautés à la vapeur. Bravo les filles !

Emma et Séphora en pleine préparation d’un repas traditionnel.

 

Elias et Christopher ont décidé de concocter une petite soupe de légumes cuite à feu doux.

Une des activité phare proposée par Sir Alexander était le montage de tente en vue du bivouac qui attend les campeurs jeudi. Sous les directives de David, militaire dans l’armée suisse, les équipes ont pu découvrir les joies du camping à Isenfluh.

Le soldat David expliquant aux campeurs comment monter une tente dans les règles de l’art.

Sir Alexander et Sir Daniel doing some cordelettes avec some ficelles.

Une journée ne peut pas être commémorative sans un traditionnel « jeu de numéros » dans la forêt avec des campeurs motivés. Heureusement que les campeurs ont bénéficié d’un bon repas de midi préparé par leurs soins pour avoir suffisamment de force et foncer à la conquête du trésor.

Aïe, aïe, aïe, pas top la technique de camouflage d’Alexis…

Un « jeu de numéros » engendre forcément une bonne quantité de transpiration, mais que faire lorsque l’eau chaude n’arrive pas au chalet à Isenfluh, comme c’était le cas il y a 75 ans ? Et bien, HOP, tous sur le terrain de volley derrière le chalet pour un arrosage collectif à la lance incendie.

Comme le révèle cette photo, il était important de bien se serrer pour se tenir chaud face à la fraîcheur du jet.

La journée s’est terminée en beauté par une soirée dans le mazot en face du Berghaus où se tenaient les premiers ralliements des camps à Isenfluh. Soirée riche en émotions avec chants, un message sur le royaume de Dieu et de belles prises de consciences.

Jeudi, tout le camp s’embarque dans un bivouac près de Gimmelwald. Vous devrez patienter jusqu’à vendredi soir pour la parution du prochain numéro.

« Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » (Mattieu 6.33)

 

Le fameux nom « Isenflotte » appartient désormais au passé…

Et oui, c’est à nouveau une magnifique journée ensoleillée, sans pluie, qui attendait les campeurs ce matin. Mais est-ce qu’ils savaient vraiment ce que le staff leur réservait comme activité la journée et comme surprise le soir ? Nous sommes certain que vous allez vouloir connaître la suite de la journée… Alors restez avec nous et continuez la lecture.

Avant toute chose, toute activité, il faut bien sûr prendre des forces et quoi de mieux qu’une bonne tartine à la confiture de cerise avec du beurre, un bon verre de jus d’orange et bien-sûr une bonne tasse de café pour le staff? Ahhhhh les petits déj’ à Isenfluh c’est sacré!

Mmmmmmmh c’est bon… J’en prendrais bien une quatrième…

Et oui, le petit déjeuné a été particulièrement important aujourd’hui car tout de suite après, toute l’équipe s’est embarquée dans la première randonnée du camp, en préparation au bivouac de jeudi :

  • Objectif : manger dans un grand pâturage traversé par une petite rivière (Chüebodmi)
  • Distance : 2.76 km
  • Temps: 2h de marche
  • Dénivelé : 580 m

Et c’est parti pour 2h de marche. Et oui, faut bien mériter son bon sandwich et son petit pain au chocolat…

 

Heureusement qu’il y a Camille, la mono, pour motiver les troupes par sa bonne humeur.

 

Il restera toujours des infatigables pour grimper encore plus haut et avoir une magnifique vue sur les trois bernoises (voir photo de couverture du jour).

La balade fut éprouvante pour certain, une balade de santé pour d’autres, mais ce que l’on retient c’est que tous sont arrivés à l’objectif et ont pu déguster un succulent sandwich préparé avec amour par les cuisinières.

Après l’effort, le réconfort du sandwich, embaumé par des discussions passionnées sur la coupe du monde.

 

« Ce n’est pas ceux qui ont de la chance qui sourient ; ce sont ceux qui sourient qui ont de la chance. » (Sœur Emmanuelle)

Dans un cadre magnifique, une création rayonnante et verdoyante, chaque groupe s’est retrouvé individuellement pour un temps de médit’ sur le Psaume 99 et à propos de la sainteté à laquelle Dieu nous demande d’aspirer. Devant une telle perfection de la nature, ce magnifique cadeau de Dieu, nous ne pouvons qu’être reconnaissance et désireux de plaire à ce Père qui nous gâte tant!

Un super mono, Baptiste, pour diriger son groupe dans un temps de médit’ et de partages.

Mais que pouvait bien être la surprise du jour, mentionnée dans l’introduction de cette journée?

Et bien, après une passionnante prédication de Joël sur le salut et la sainteté qui nous est demandée tout au long de notre vie à partir du moment où l’on accepte Christ comme Sauveur et Seigneur, les jeunes ont eu le privilège de pouvoir voir les dernières 30 minutes de la demi-finale France-Belgique.

Avec seulement une soixantaine de jeunes supporters, la Fanzone de Isenfluh n’a rien à envier à toutes les autres Fanzones de Suisse ou de France!

Ce que l’on peut retenir de cette journée, c’est la joie qui transpire des jeunes, leur engouement pour toutes les activités proposées et leur amour de plus en plus fort pour le Père.

« Tu m’as montré les chemins qui conduisent à la vie, tu me rempliras de joie par ta présence. (Actes des Apôtres 2, v.28)

A demain…

Les timidités disparaissent, les amitiés se créent, une magnifique ambiance de camp apparaît…

Et c’est parti, première journée complète à Isenfluh pour les campeurs. Après une bonne nuit reposante, toute l’équipe s’est réveillée sous un magnifique soleil réchauffant rapidement les tentes. Nous pouvons remercier notre Père pour ce privilège!

Mais avant de déjeuner, place à la médit’ par groupe, un moment privilégié de partages, lecture de la Parole et réflexions personnelles. Chaque groupe se trouve un endroit calme et propice à passer un bon moment ensemble.

La troupe féminine de Marina lors de leur médit’ du matin

La troupe de David a choisi la hauteur pour passer un moment privilégié à l’écoute de la parole de Dieu

Mais ce n’est quand même pas totalement les vacances pour les jeunes car des tâches quotidiennes les occupent directement après le petit déj’. Vaisselle, sanitaires, aspirateur dans la salle de réunion, tri et ramassage des déchets dans la propriété. Il n’y a pas de quoi s’ennuyer ! Mais ces moments favorisent aussi de belles discussions, initient de nouvelles amitiés et développent de nouvelles compétences chez les jeunes (parents, prenez en bonne note !)

Trois jeunes filles en pleine discussion pendant les services du matin

Après avoir rendu tout propre le chalet, c’est au tour de Daniel de nous apporter le message à propos du Père céleste et de ce qu’il est et représente pour nous, ses enfants. Nous avons un incroyable privilège de pouvoir compter sur un Père qui nous aime et qui veut prendre soin de nous, bien au-delà de ce que l’on pourrait imaginer !

L’après-midi fut bien sportive, avec la mission « Stratego », un jeu de grades où deux équipes s’affrontaient, dont chaque joueur avait un grade spécifique, le limitant dans ses possibilités de capturer de l’adversaire.

Entre deux parties du jeu de grades, rien de tel qu’une petite pause sur un banc pour récupérer avant de repartir à l’assaut.

Mais ce n’est pas tout, car tout de suite après s’est lancé le tant attendu jeu des numéros, qui demande agilité, stratégie, force pour déplacer un David bien solide (voir photo ci-dessous), une bonne vue mais aussi du courage pour affronter l’équipe du staff lors de la dernière partie.

David résiste à l’assaut, mais jusqu’à quand ? D’ailleurs, arrivez-vous à deviner quelques numéros ?

La journée a beau être remplie, il y a toujours le temps pour un petit jeu improvisé au bord d’une table, et c’est encore plus la classe si c’est en compagnie du grand chef de camp, Daniel, ou de la souriante aide-technique, Naomi.

Un chef de camp proche des campeurs, une aide-technique dynamique, tout ce qu’il y a de mieux pour rendre la partie intéressante.

Même s’il y a eu quelques petits bobos (bien-sûr rien de grave), les campeurs peuvent compter sur Sara, l’incroyable infirmière, pour retrouver le sourire et oublier la douleur.

Sara, notre infirmière attitrée

Voilà une belle journée qui s’achève, les jeunes vont sûrement bien dormir! Et demain…. surprise (suite dans le prochain article).

« Oui, tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, tu es plein d’amour pour tous ceux qui font appel à toi. » (Psaumes 86, v.5)

 

Voici de quoi faire rêver!

L’ensemble des films des camps JAB 2017 sont disponibles sur cette page…

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https://jabsuisseromande.ch/films-des-camps/