Maintenant habitués aux réveils sportifs d’Isenfluh, nos athlètes ont commencé leur journée par l’habituelle session de cross-frite. Ceci fait, chaque jeune a ensuite eu l’occasion de prendre un temps personnel pour méditer le Ps. 8, notre passage du jour. Après cette halte spirituelle, tout le camp s’est retrouvé sur la terrasse pour prendre le petit déjeuner en profitant du soleil matinal.

Sitôt les tartines avalées et les services terminés, le staff a mis en place la première vente du camp et, comme les programmes des matchs étaient prêts grâce au travail acharné de Fabien, les campeurs ont enfin pu commencer leurs tournois. Après ce temps plutôt ludique, les jeunes ont été répartis en plusieurs groupes et ont suivi un cours de montage de tente en prévision de notre prochaine excursion, qui s’annonce déjà prometteuse. Rapidement devenus des maîtres de l’assemblage de carrés militaires, nos pensionnaires se sont ensuite mis à table pour prendre des forces en vue de la marche de l’après-midi.

Après le dîner, sac sur le dos et gourdes bien remplies, nous nous sommes tous mis en marche pour rallier les crevasses via la vallée de Saustal. En plus d’offrir aux jeunes un bon avant-goût du bivouac (ou du trivouac), la première marche du camp sert généralement de thermomètre pour estimer la condition physique et la motivation des campeurs. Aujourd’hui, nous avons eu une excellente surprise : tout le camp a atteint les Crevasses sans pause et en un temps record ! Nos randonneurs nous ont vraiment vendu du rêve… Et cerise sur le gâteau, en arrivant nous y avons découvert une Edelweiss.

En raison d’une météo capricieuse, notre escale aux Crevasses a malheureusement dû être écourtée afin de rentrer à Isenfluh avant la pluie. Si les derniers ont été un peu mouillés, la majorité du camp est arrivée au chalet avant le gros de l’averse et s’est donc épargnée une douche bien involontaire. Une fois leur goûter avalé, toutes les troupes ont pris un temps de médit’ avant de passer à la douche.

Suite au souper, nous nous sommes tous retrouvés dans la salle de réunion pour un temps de louange et de témoignage qui a été suivi d’un message de Philippe à l’herméneutique irréprochable. Après cet encouragement, nous avons tous honoré la tradition en buvant une tasse de thé sur la terrasse avant d’aller se coucher.

Photos :

 

À huit heures tapantes, la douce mélodie destinée à sortir les campeurs de leur profond sommeil a retenti dans le silence matinal d’Isenfluh. Petit à petit, le visage toujours endormi, nos pensionnaires se sont regroupés sur le terrain de badminton pour participer au traditionnel cross-frite. Principalement destinée à s’assurer que tous les jeunes soient bien réveillés, cette session de sport matinale est aussi l’occasion pour les campeurs les plus vigousses de rouler des mécaniques devant leurs collègues. Les poumons bien décrassés, chaque troupe s’est ensuite réunie pour la première médit’ par groupe du camp. En effet, après avoir mis un peu d’huile sur ses articulations, il faut aussi faire tourner ses méninges pour s’assurer que ses vilebrequins cérébraux fonctionnent bien. Mens sana in corpore sano* disait l’autre. Leur service terminé nos jeunes se sont retrouvés sur la terrasse pour manger quelques tartines et ainsi faire le plein d’énergie en prévision de nos aventures du jour.

Un petit-déj’ et sept services plus tard, tout le camp s’est rendu dans la salle de réunion pour entendre le message du jour. Après un chouette moment de louange, Aurélie nous a parlé du Ps. 139 et nous avons terminé la matinée par un temps libre que les campeurs ont pu mettre à profit en s’inscrivant aux tournois. Cette année, la grande nouveauté de nos joutes est le jeu du gobelet, un match où deux compétiteurs essaient de faire rebondir un verre à l’endroit le plus rapidement possible (une vidéo explicative sera publiée sur le compte Instagram de la Jab dans les jours à venir).

Après avoir dégusté les délicieuses Flammenküche préparées par la cuisine pour le repas de midi, les campeurs se sont rassemblés dans le donjon de Fort Isenfluh pour la présentation du grand jeu de l’après-midi. Une fois assis dans une salle de réunion obscurcie pour l’occasion, les participants ont pu découvrir leur mission de l’après-midi au travers d’une mise en scène épique. Cette dernière consistait à relever les différents défis du Père Fourasse pour mettre la main sur son trésor d’Isen-boyard. Chaque troupe a donc été mise à l’épreuve dans les différents postes organisés par Camille et Annick. Ceci fait, les groupes ayant réussi leur périple sont ensuite retournés dans la salle de réunion et s’y sont vu offrir la chance de dérober le magot du Père Fourasse et de mettre ainsi fin à ses machinations.

Pendant ce temps, l’équipe cuisine, toujours à l’oeuvre dans l’ombre, préparait de délicieuses tartes que nous avons avalées une fois le grand jeu terminé. Sur ces entremises, les plus coquets sont allés prendre une douche, tandis que d’autres ont continué à s’amuser en profitant du temps libre pour s’entrainer pour les tournois ou faire une partie de palet breton avant le souper.

Une fois repus, nous nous sommes familiarisés avec les chants du carnet de louange avant de faire plusieurs parties de jeu de numéro sur la propriété. En guise de conclusion à nos aventures du jour, tout le monde s’est finalement retrouvé sur la terrasse pour une tasse de thé.

*Un esprit sain(t) dans un corps sain

Photos :

Montée des escaliers à la course, un essentiel du Cross-frite

Tout le monde participe, même le directeur et sa fille !

Aurélie en plein partage

L’escalade d’une bâche savonneuse, l’un des nombreux défis du fort

Un grand sourire pendant le parcours d’obstacle 

L’un des mercenaires du père Fourasse, en mode COVID-19

L’ascension mouillée de Davidson

Une partie de MarioKart les yeux fermés, guidé uniquement par la voix de ses camarades

L’équipe cuisine, toujours souriante

Le machiavélique Père Fourasse

Après l’effort, le réconfort

Après une matinée passée à attendre impatiemment l’arrivée des campeurs, les vingt-quatre membres du staff (eh oui nous sommes nombreux !) se sont précipités à Lauterbrunnen pour les y accueillir. Une fois leurs bagages déchargés du car, les moniteurs ont réuni leurs groupes et sont partis pour la descente jusqu’à Isenfluh. Oui, vous avez bien lu, la descente jusqu’à Isenfluh. Une fois n’est pas coutume, la direction a en effet décidé de préserver les mollets de nos ouailles (en vue de nos futures pérégrinations, bien sûr) et nos trente-huit jeunes ont donc embarqué dans une cabine pour monter à Grütschalp.

À l’arrivée du téléphérique, David a brièvement briefé les troupes et a remis à chacune d’elle une carte pour rallier Isenfluh. Accompagnés de leur moniteur, les sept groupes sont donc gaiement partis en direction du chalet du fondateur et, au fil des postes disséminés au long du chemin, chaque jeune a pu faire la connaissance de ses camarades de tente.

Leur destination atteinte, les campeurs ont retrouvé leurs bagages et ont profité d’un moment de temps libre pour faire plus ample connaissance et s’installer dans leurs tentes. Leur goûter avalé, ces derniers se sont ensuite rapidement éparpillés aux quatre coins de la propriété pour découvrir la nouvelle terrasse du chalet, se lancer dans un match de foot effréné, se mesurer à leurs camarades au babyfoot, faire quelques passes sur le terrain de volley ou encore lézarder au soleil.

Aux alentours de dix-neuf heures, le camp entier, alléché par l’apparition de nombreux fours à crêpes sur les tables de la terrasse, s’est mis à table pour expérimenter le premier repas préparé par notre équipe cuisine. Autant dire que le test était réussi ! Les multiples condiments étaient parfaitement épicés, les crêpes étaient délicieuses et le Nutella était là ! Une fois repue, chaque troupe a rivalisé d’adresse en édifiant des piles de crêpes dignes d’un album de Petzi pour le petit-déjeuner de demain.

La panse bien remplie, tout le camp s’est ensuite retrouvé dans la salle de réunion pour la première soirée, avec au programme : une présentation du staff façon “jeu télévisé” par Phillipe, un message édifiant de Joel sur le Ps. 121 et les consignes nécessaires au bon fonctionnement du camp, illustrées avec humour par Fabien. Sur ces bonnes paroles, nous avons terminé la soirée par un temps de chant et les jeunes se sont retrouvés sur la terrasse pour déguster une tasse thé sérotinale avant de rejoindre leurs lits de paille.

Quelques photos du jour :

L’arrivée triomphale des campeurs

 

Un staff venu tout droit des montagnes du Jura

Un petit message de bienvenue de la part du directeur

Un campeur fin prêt pour prendre le téléphérique

 

Et voici nos sept groupes :

Et finalement un aperçu de notre délicieux repas :

Vent de nostalgie qui soufflait ce mercredi matin sur Isenfluh, les campeurs profitant de se lever de bonne heure pour savourer leurs dernières minutes tous ensemble. Notre bien-aimé prof de cross-frite innova par des exercices de pliage de couverture. Le ciel grisâtre reflétait l’état d’esprit général, jusqu’aux discrètes gouttes de pluie éparses. Un dernier coup de “privilèges”, un dernier mot d’envoi de Daniel qui encouragea à rester connecté avec ce Dieu dont on a découvert tant de choses durant ce camp, une dernière descente sur Lauterbrunnen, derniers adieux. Une très belle page qui se termine et dont on n’a pas envie qu’elle se tourne, mais dont les circonstances vont finalement s’en charger. Un staff qui retourne au chalet pour débriefer et constate le silence qui s’est désormais installé sur Isenfluh, mais comme dirait Fifi, “la faune n’est pas aphone”. Le staff profitera de sa dernière soirée ensemble, avant de repartir pour des camps pour certains, retourner au travail pour d’autres. Si notre corps n’est pas tout à fait près à affronter la suite, notre esprit lui est agréablement renouvelé par cette magnifique aventure vécue, et nous fûmes unanimes à reconnaître que ce camp fut comblé de bénédictions.

 

Une Olivia qui n’échappa guère à la célébration de son anniversaire

Une troupe Jungfrau plus ou moins prête au départ

Le fameux concours des objets trouvés

Une fin qui se fait cruellement ressentir

Des mots d’envoi qui résonneront longtemps dans ces jeunes coeurs

Immortalisations personnelles

Un Tom qu’on espère plus attentif qu’un certain Eutychus

Derniers moments de simplicité

Le moment tant redouté qui clôt cette inoubliable aventure

De concert avec le thème de notre dernière soirée, à l’envers, il semble approprié de commencer par la fin. Une soirée dantesque qui a vu les campeuses et campeurs se dépasser dans leur créativité, mais aussi dans leur sensibilité et leurs relations. C’est beau à voir ! Les productions se sont succédé, plus divertissantes les unes que les autres, et les autres plus touchantes que les unes. C’était renversant. L’activité phare consistait en une production d’un Psaume, à l’aide d’un sambuque, psaltérion ou autre moyen mélodieux. Le repas a commencé en fanfare par une magnifique entrée poires Belle-Hélène sur son coulis de chocolat et saupoudré de Speculoos, le tout accompagné d’une boule vanille. Nous noterons également le dessert constitué d’un succulent gaspacho et d’une salade de pâtes. Le tout était entrecoupé de folles finales de tournois.

L’après-midi s’est arrangé pour nous offrir nos derniers moments de qualité par troupe. Vogelstein et Schilthorn en haut, Schwalmere et Männlichen à gauche, Eiger et Mönch derrière, Lobhörner et Jungfrau en bas. Goûter emporté, Bibles à la main, c’était l’occasion de faire un bilan, de réfléchir à la communauté après le message de ce matin, et simplement de passer du temps dans la communion fraternelle.

Et pour finir, ou commencer, ou continuer, un message de Line qui nous rappelle à quel point on est bien ensemble, à quel point la communion est belle et l’Église magnifique. L’importance des amitiés, des amis chrétiens, le tout illustré par le Psaume 133. Un régal!

Un peu comme un avion qui entame sa descente, on sent que la fin approche, mais on veut encore profiter de ces derniers instants, on n’a pas encore atterri, et heureusement ! Les jeunes sont encore remplis de motivation et de zèle, et les stewards et hôtesses ne cessent de les servir avec bravoure et sourire. La nourriture est quant à elle bien meilleure que celle d’un Airbus ou d’un Boeing, et presque tout autant gratuite. Bonne lecture !

 

Une finale de Shifumi disputée comme jamais

Un intense coaching qui n’aura pas suffit à Fifi

Un Johan transporté par la foule suite à sa victoire

Des gens qui viennent de loin (Portugal) pour vivre nos camps à Isenfluh

Des craquants très sourires

Les Eicher brothers qui ont encore frappé lors de la finale de badminton

Une Rebecca à fond dans le thème

Un Jesse en inspiration (alias C4C)

Un Psaume en mode rap

Des normes Covid toujours bien respectées

Un Psaume musical

Un Psaume tout en danse

La troupe de la cité qui a enflammé l’audience

Une fin tout en communion fraternelle

Quoi de mieux pour récupérer qu’une heure de plus de sommeil le matin ? ou qu’un cross-frite stretching ? ou encore qu’un brunch plus que copieux ? Ou mieux encore, si l’on n’avait même pas à choisir entre les trois ? De plus, Jean nous prépara un “tournoi tranquille”, avec au menu du Mölkky, du “foot mains liées”, un Lucky Luke, parcours du combattant et hockey. La proclamation des résultats provoqua même une bataille d’eau générale, où chacun put régler ses comptes dans la joie et la bonne humeur. Après un efficace séchage, Dan nous partagea une pensée sur le Psaume 51 avec notamment les choses qui ne sont pas réglées dans notre vie, et l’importance d’y remédier. La journée se conclut par le film “Avez-vous la foi ?” qui menait à la réflexion de “que fais-je de cette vie que Dieu m’accorde ?”

 

Une équipe cuisine dont personne ne rivalise ni pour leur talent culinaire, ni pour leur sourire

Un Dominique conquis par le concept du brunch

Foi et sport sont-ils compatibles ?

Un fin lancer de notre ami Stéphane

Quelques informations sur le “Lucky Luke”

Un intense parcours du combattant

Un cri de guerre à faire trembler l’adversaire

Un Jean qui harangue les foules

Comme vous le sentiez arriver, il fut bel et bien là. Pour rappel, ce bivouac devait initialement avoir lieu quelques jours plus tôt, mais a été reporté pour cause d’humidité. Et pourtant, le ciel du début du jour 7 ne semblait pas mettre en confiance les campeurs. La météo ne se trompait pourtant pas, et le camp parti, tel un seul homme sous un soleil brillant, à la conquête du Saustal. Après respectivement 502 mètres de montée et 1 mètre de descente, le camp posa le campement et dressa, tel des champignons, des tentes plus belles les unes que les autres, tant les “gothard”, les “Toblerone” que les “Berlinoise” . Après plusieurs comptages des campeurs, nous dûmes nous rendre à l’évidence: il manquait un(e) campeur(se) à l’appel ! Certains membres de la direction partirent alors à sa recherche et c’est avec succès que quelques temps plus tard, le(la) campeur(se) revint, étonnamment bien serein(e). La soirée se poursuivit ainsi, en deux groupes distincts, boys and girls, autour d’un feu accompagné d’un bon cervelas grillé, de quelques crudités et de pommes de terre. Le cake au carambar remporta un franc succès ! Après de beaux partages et confessions, avec quelques marshmallows grillés, la nuit fut fraîche et sombre pour certains, humide et étoilée pour d’autres !

6:00 tapante, la troupe se réveilla gentiment… Le temps de plier tentes et couvertures, avaler le petit déj’ et embarquer le picnic, le groupe chamois se mit rapidement en route pendant que le groupe marmottes finissait gentiment de plier le camp, sous l’oeil vigilant de Laurent notamment. Les chamois escaladèrent avec hâte cette tant convoitée Schwalmere. Le sommet, du haut de ses 2777 mètres, dû s’avouer vaincu peu après midi. Nous saluerons les beaux gestes d’Yvann et Timotheo qui n’hésitèrent pas à redescendre pour décharger les sacs de ceux dont l’oxygène commençait à manquer. Le groupe se sustenta par de succulents cakes salés, puis par une pensée de Fabien sur la joie qui peut nous habiter malgré les circonstances. L’activité phare de ce sommet fut la mythique descente sur les névés, où le style fut très travaillé. Le retour se fit par contournement des Lobhörner et une descente sur le Sulsee (+baignade et pêche), voire même une course jusqu’au chalet. Le groupe marmotte privilégia un moment plus long au Sulsee, et ramenèrent même quelques vairons (Phoxinus phoxinus) au chalet, poissons qui sont désormais entretenus par les plus grands soins. Les mythiques lasagnes mirent du baume au coeur et au ventre des troupes et nous firent oublier nos petits bobos. La soirée se fit en silence, dans un parcours spirituel de différents postes pour réfléchir à sa vie devant Dieu.

 

Un staff confiant pour ce bivouac

Des campeuses encore innocentes face à la nuit rude

Mode d’emploi pour les cervelas

Le modèle Gothard en premier plan, Toblerone au second plan,

 

Des filles qui ont su s’autogérer pour leur feu

Un moment de chant encore en commun…

…tout en instrumental

Un départ serein pour les chamois

Un Saustal dont on ne se lasse jamais

Evaluation de l’état des troupes

Etape intermédiaire

L’assaut final du pierrier

Petit coup marketing d’Isenfluh

Nos si souriants Geiser

Nos dinosaures qui font presque partie du décor

Un Fabien qui a su prendre son envol…

…suivi d’un David qui perdit quelque peu pied…

…bientôt rattrapé par un sûr Sam

Quelques nuages éparses qui eurent raison du paysage à défaut de notre enthousiasme

 

Journée toute spéciale pour les campeurs: en effet, il s’agissait de “leur journée”, à savoir la journée organisée par eux-mêmes. La journée était découpée en plusieurs missions, et chaque groupe a eu droit à sa mission propre, tirée au sort le jour précédent. Les responsabilités respectives étaient les suivantes: petit déj’, repas de midi, repas du soir, moment louange, activité de l’après-midi, activité du soir, cross-frite et annonces au micro. Les jeunes s’en sont donnés à coeur joie et se sont appliqués à la tâche. Le Psaume du jour était le premier, et nous fûmes exhortés à suivre la bonne voie pour être comme un arbre solide qui plonge ses racines dans les bons endroits afin de s’ancrer solidement et fournir de bons nutriments, ce qui en résultera des bons fruits. L’activité de l’après-midi consistait en un jeu de grades suivi d’un poule-renard-vipère. Le jeu fut interrompu en fin d’après-midi par de belles averses qui firent place à un plaisant “foot-pluie”. L’activité du soir, très bien ficelée par notre troupe Eiger, mariait le thème de l’Église persécutée et un jeu de numéros: le groupe qui défendait devait empêcher les 2 autres groupes d’amener des Bibles dans leur territoire, tout cela avec le jeu de numéro. Une belle débauche d’énergie par tous ces jeunes, mais un repos qu’on espère fortifiant, car de grands projets les attendent pour le lendemain (petit indice, il n’y aura pas d’E-Isenfluh demain, pour cause de non-nuitée à Isenfluh)

 

Cross-frite rondement mené par les Lobhörner

Un séduisant groupe louange constitué de la troupe Schwalmere

Préparation de l’activité de l’après-midi par la troupe Schilthorn

Petites rectifications des explications du jeu de grades

Un imposant Florian qui clarifie les derniers détails de l’activité

Petit débrief d’après-jeu

Deux campeurs en stage de formation staff

Moment de détente créé par une campeuse hilare

Rare moment de calme dans ces journées si mouvementées

Une intimidation gratuite du gardien adverse

Subtil débordement de Dominik sur le flanc gauche

Des t-shirt qui n’auront pas résisté à la pluie

Une descente avec grâce

Un camp qui poursuit son petit bonhomme de chemin, dans la simplicité pour aujourd’hui. Nous avouons que loin de la réalité du quotidien, perchés sur notre montagne, nous peinons à garder en tête qu’un virus se balade en ce moment à la surface de la terre. Nous nous efforçons de garder certains réflexes, notamment la désinfection fréquente des mains, voire carrément lavage des mains avant le repas. Nous rendons continuellement grâce qu’aucun cas ne se manifeste pour le moment dans notre camp.

Les amateurs de bubble foot eurent l’occasion d’exercer leur talent sur le tartan de Lauterbrunnen. Certains en gardèrent même sous la semelle pour tenter de battre leur record du Lauterbrunnen-Isenfluh. Cette journée chaudement ensoleillée fut même accompagnée d’abondants jeux d’eau.

Nous mentionnerons tout de même le tiramisu du dessert, décoré des 14 bougies en l’honneur de notre cher Laurent qui passait un cap important ! Jean termina la journée par un partage fort sur le Psaume 103 avec ce Père si bon.

 

 Un Daniel qui va probablement bientôt changer sa photo de profil

  Une pose s’impose

Faux départ pour la séance photo

Un maximum d’attention réuni pour ce shoot à 3 points

Les instructions transmises avec passion

Un Laurent au centre des attentions pour cette journée

Une belle découverte pour ce jeune campeur

Retour au calme pour le camp ! Un quart d’heure supplémentaire de sommeil fut le bienvenu dans le processus de récupération. Le reste de la journée se rapprocha plus d’une journée-type d’Isenfluh, avec un cross-frite, message d’Adrien sur le Psaume 90 et “apprendre à compter ses jours”, l’indémodable jeu de numéro qui vit la victoire des défenseurs par trois fois au terme d’épiques battle, méditation par groupe et ventes de cartes postales pour que les parents reçoivent d’autres nouvelles que celles-ci. Les jeunes eurent l’occasion d’enfiler leurs fameux vêtements “rouges et verts” et le thème fut finalement révélé: Portugal. Isabelle, notre chère “madame propre” anima la soirée avec enthousiasme et petits jeux ludiques. La bonne (ou mauvaise) nouvelle pour les jeunes avant de dormir fut que le bivouac initialement prévu pour le jour 5 sera agencé probablement pour samedi et une journée “surprise” annoncée pour demain.

 

Le cross-frite qui attire toujours les foules

Un des nombreux jeux de carte à disposition de nos jeunes

Au coeur du suspens

Un solide trio

Mise en place de la stratégie

Folle percée au coeur de la bataille

Une défense difficilement détrônable

Un thème “rouge et vert” respecté à moitié

Rien de tel qu’un bon plat portugais

La chorégraphie saura-t-elle être reproduite ?

Les volontaires pour un fameux jeu d’Isabelle