On est déjà au milieu du camp et toute notre joyeuse troupe se lève sous un beau soleil d’automne en se préparant pour partir en bivouac ! 

L’activité règne dans la maison dès le lever pour être prêt dans les temps. Après une médit perso – petit déjeuner – empaquetage de picnic – méditation, tout le monde enfile ses chaussures de marche et on se met en route pour aller jusqu’à Murren. On transpire, on souffre un peu mais on est heureux d’être dans ces magnifiques paysages et montagnes qui se sont parées d’or et d’orangé. 

    

Ces quelques heures d’effort sont récompensées à l’arrivée à Murren par une après-midi de Bubble Foot dans le complexe sportif et … d’une nuit à l’hôtel !  

Après un plat de spaghetti bolognaise, le camp se retrouve dans la salle commune de l’hôtel pour finir par une soirée de témoignage des moniteurs et des campeurs qui nous ont partagé comment Dieu les a touchés et les a transformé. Fort en émotion. Puis les moniteurs s’alignent face aux campeurs et acceptent de passer à la barre : les campeurs peuvent poser toutes les questions qu’ils se posent et le staff essayent de leur répondre. 

Bien fatigué par cette longue journée, tout le monde part se coucher pour une bonne nuit de sommeil. 

14h00 : Ça y est, le coup d’envoi du camp est lancé lorsque les 32 jeunes débarquent sur le quai de gare de Lauterbrunnen.

Après avoir annoncé les troupes,  la montée vers Isenfluh commence, agrémentée de quelques défis sur le parcours, permettant en même temps de faire connaissance.

Arrivé dans la maison, les jeunes ont joyeusement pris possession des lieux et se sont installés dans leurs chambres.

Bien mis en appétit par cette après-midi en plein-air, les jeunes ont dévoré les quiches aux courgettes et fromage de chèvre préparées par nos super cuisiniers.

Mathilde nous a ensuite mené dans une soirée jeux de présentation.

Pour finir, Joël a présenté les thèmes des méditations de la semaine. Nous allons découvrir ensemble les 7 signes miraculeux de Jésus dans le livre de Jean. Joël nous a parlé de Jésus qui change l’eau en vin.

Après cette première chouette journée de camp, tous au dodo !

Bonne nuit et à demain sur le e-isenfluh ! 🙂

Tout commence à 6h15 ce matin lorsqu’une vaillante équipe se lève aux aurores pour relever le défi Lauterbrunnen-Isenfluh.

Ensuite nous avons abordé le sujet de la tristesse, qui nous fais aller de l’avant et nous fait nous confier en Dieu.

Départ à 11h pour la marche Grütschalp, Mürren, Isenfluh.

Le téléphérique a été emprunté avec les masques biensur.

A l’arrivée nous étions bien content de les enlever afin d’avoir une photo un peu plus expressive.

Un après-midi piscine avec un retour depuis Lauterbrunnen en courant pour les plus motivés.

Le soir, mime-emotion et divers jeux de société.

Nous avons aujourd’hui abordé le sujet de la peur, comment notre Seigneur a lui aussi vécu cette émotion et comment en tirer des enseignements pour remettre nos peurs à Dieu.

Notre première journée du mini camp d’automne s’est bien déroulée malgré la pluie du matin avec laquelle nous avons dû adapter notre programme.
24 participants motivés!
Nous avons aujourd’hui abordé le sujet de la colère avec quelques pistes que la Bible nous enseignes pour la gérer. Nous avons également vu la colère de Dieu sur les hommes à cause du péché et aussi la solution en Jésus-Christ.

Dernière matinée, derniers instants du camp.

Beaucoup à faire pour rassembler toutes ses affaires et enlever toutes les traces de poussière ! 

Mais derniers temps précieux pour échanger, s’encourager à être et rester connecté à Dieu en se soutenant les uns les autres.

Pour cela, nous avons pris un temps de réflexion autour des Psaumes 117 et 133.

Une dernière photo de groupe et voilà les campeurs en route pour prendre le car qui va les reconduire chez eux.

Bilan de ce camp ?

Une très grande reconnaissance à Dieu qui a permis que ces instants aient lieu malgré la situation sanitaire et les défis rencontrés. Reconnaissance à Dieu pour sa protection et pour son action dans les vies.

Mais je vous propose de conclure avec le témoignage d’un campeur. Que dire de cette semaine de camp ? (les campeurs reconnaîtrons certaines blagues liés à ce qu’ils ont vécu ensemble).

“9 jours déconnecté du monde pour mieux être connecté à Dieu, deux jours de marche, un bivouac, 3’400 mètres de dénivelé positif, Schilthorn + Schwalmen = 2 sommets et 4 pierriers (on t’aime Davidou) un lac et 4 cloques 🙂
Des amitiés géniales des nouvelles rencontres, de nouvelles louanges et de l’apport théologique ultra-intéressant et vraiment utile… C’est peut-être un gros pâté pour expliquer une expérience de camp mais quand on oublie même d’omettre les 1’150 pompes après un tournois de sport, les jeux de carte, les tournois de tout et n’importe quoi… Il y a de quoi être marqué ! Merci le disque de frein, la banquette, les shi-fu-truc et JJ
Soyez bénis”

MERCI SEIGNEUR !

Au-revoir les amis, chers campeurs, chers lecteurs. A l’année prochaine.

 

Après tous les efforts des derniers jours, une petite grasse mat’ est très appréciée de tous (en vrai juste une heure de sommeil de plus, mais ça compte).

Une journée bien remplie s’annonce.

Les estomacs et les yeux sont comblés devant le magnifique brunch préparé par l’équipe cuisine !

Quelle abondance, quelle créativité, quelle diversité, quelle générosité, quel sens du détail ! Admirez par vous-même !

Nous nous sommes ensuite penchés sur le Psaume 51. C’est magnifique de voir que nous avons un Dieu qui fait grâce ! La vie du roi David nous révèle en effet que nous ne pouvons jamais être trop loin pour revenir à Dieu et recevoir son Pardon. “Qu’est-ce que ça change de vivre comme un pardonné ?” Pardonné, nous pouvons ainsi recevoir le secours de Dieu pour accéder à la possibilité libératrice de pardonner à notre tour.

Pardonner ? Un grand sujet. Le récit du roi David nous montre que cela ne signifie pas que nos actions ou celles des autres n’ont pas de conséquences. Pourtant, Dieu nous restaure en profondeur par son action au plus profond de notre être.

 

Un autre sujet de discussion important nous a rassemblé durant l’après-midi. Les filles ensemble d’un côté et les garçons de l’autre nous avons évoqué différents questionnements concernant les fréquentations, la manière d’honorer Dieu dans les relations hommes- femmes, la sexualité, les tentations, le respect de l’autre et de son corps, … Tant de sujet qui restent bien souvent tabous. Quel temps riche en sincérité, en honnêteté, en témoignage de vie, recherche de la volonté de Dieu pour sa vie.

Le camp arrivant déjà à sa fin, les finalistes des différents tournois proposés durant toute la durée du camp se sont affrontés sous les encouragements des autres campeurs.

 

Une soirée pleine de festivités nous attend. Chacun veut profiter pleinement de ces derniers instants.

Bienvenue dans la jungle !

Attention à ne pas vous emmêler dans les lianes et aux serpents qui se cachent. Observez tous ces animaux qui se pavanent. Laissez-vous émerveiller par toutes les couleurs des hibiscus, ananas et végétations diverses. Laissez vos papilles profiter de tous les parfum exotiques.

La soirée commence avec le déguisement de tous et une immersion dans cette univers. Est-ce que vous voudriez goûter un petit criquet ? Savez-vous vous débarrasser d’une attaque de fourmis venimeuses ? Êtes-vous capables de garder votre provision de bananes face à des singes impitoyables ? …

 

Que dire de l’apéritif ? Les mots ne suffiraient pas, je vous laisse admirez les chefs d’oeuvres !

La suite du repas est tout autant colorée avec la paella.

L’apothéose du repas ? Un palmier abritant un petit singe.

Au pied de celui-ci, un arc-en-ciel de couleurs vitaminées.

Tout cela ponctué d’animation talentueuse des campeurs ! Danse, Rap, acrobatie, chant, livepainting, …

Le soirée se termine par un temps de chants et de témoignages autour d’un feu. Dieu est vivant et Il agit dans les vies. C’était encore une occasion de constater sa grandeur et sa puissance !

Sous un ciel étoilé et des étoiles pleins les yeux, les campeurs vont profiter de leur dernière nuit dans la paille !

J6 : jour de départ pour le bivouac.

3 itinéraires proposés : “très grande marche” “grande marche” “petite marche”.

Départ à 5h30 pour les 15 valeureux campeurs qui avaient choisi la première option.

Pour les autres, un réveil un peu plus doux et à des heures qui “piquent” un peu moins.

On prépare son pique-nique, on met de la crème solaire, sa casquette, de bonnes chaussures, et en route !

Le temps s’annonce magnifique !

Marche marche marche, pause, marche marche marche marche, pique-nique, marche marche marche, vue magnifique, marche marche marche (petites plaintes passagères), marche marche marche, (ampoules ? ça n’arrête personne !), marche marche marche ETTTTTTTT… arrivée au lieu d’établissement du campement.

Avec des carrés militaires, s’il vous-plait ! Toutes les tentes finissent par tenir debout.

Une équipe de volontaires lance un feu.

Après toute cette “marche marche marche” les estomacs crient famine.

Salade de pomme de terre, saucisse de Morteau au feu de bois, tomates, pain au noix : vous salivez ? C’était en effet délicieux.

On oublie pas les services pour autant. Chacun part faire sa vaisselle à la rivière (glacée bien évidemment).

Une super soirée de chants et témoignages se vit ensuite autour du feu. Crépitements des braises mais aussi des coeurs qui sont émus des vécus partagés et de voir la manière dont Dieu agit dans le cheminement de chacun.

Après toutes ces émotions et dépassements de soi, il est temps d’aller dormir. La nuit est fraiche mais la plupart des campeurs passent une bonne nuit (à l’exception des tentes de ronfleurs).

 

J7

Réveil avec les rayons du soleil. La journée est radieuse.

On ne change pas les bonnes habitudes. Une fois le ravitaillement apporté avec le bus JAB et les tentes chargées… vous devinez ? Marche marche marche !

Les paysages sont sublimes une fois encore.

Montée, montée, montée…

Les campeurs aperçoivent des lacs de montagne bleu émeraude, des bouquetins (désolé, pas de photo), des vautours (pour l’espèce précise de l’oiseau, veuillez vous adresser à David. Il me semble me souvenir d’une certaine histoire de “percnoptère”),  … Avant d’arriver à un point de vue à couper le souffle (“Schwalmere” pour la grande marche et “Schwarze Schopf” pour le reste du camp).

Ceci étant fait :

descente, descente, descente.

Arrivée au camp, gratin valaisan !

Délicieux plat avec fromage, béchamel et pommes de terres. Il faut bien ça pour se requinquer après tous les efforts fournis. “Merci, merci la cuisineE, Merci, merci, la cuisineE” (c’est une chanson ! Demandez à vos enfants de vous la chanter lorsque vous leur servirez à manger !).

Il nous faut conclure, tout le monde a besoin d’une bonne nuit réparatrice.

Nous tenons tout de même à remercier une de nos ferventes lectrices (qui lit même les “PS”) de nous avoir envoyé un très gentil colis (voila de quoi renouveler le stock pour nos cafés staff) !

Et bien sur à tous les autres ! Merci pour vos prières et votre intérêt.

Spécial anniversaire ce matin !

18 ans pour un campeur talentueux au sourire lumineux.

Mais aussi 8 ans de mariage des directeurs qui ont pris l’habitude de fêter cela chaque année à Isenfluh !

Merci Seigneur pour ces occasions de festoyer tous ensemble et de lui être reconnaissants.

Dans le Psaume 103, nous avons découvert que Dieu agit comme un Père envers nous et sa compassion nous pousse à faire grandir notre foi et ainsi nous approcher toujours plus de Lui. Ne nous laissons pas persuader que Dieu est trop loin pour nos problèmes.

La compassion de Dieu est réelle pour ceux qui placent en lui leur confiance et ce, peu importe par quels chemins nous devons passer. L’Eternel nous attend afin que nous puissions bénéficier de sa compassion sans limite !

Aujourd’hui c’était l’après-midi repas concours.

Le but ? les campeurs doivent réaliser leur propre repas à partir des matières premières.

Les challenges : gagner et trouver de précieux bons pour obtenir tous les ingrédients et le matériel nécessaire, allumer son feu, imaginer un menu, dresser de belles assiettes et peaufiner  la présentation… Tous les détails comptent !

Assurément, il y avait de la créativité et on a même aperçu un grillon grillé !

Demain, c’est le grand départ pour le bivouac ! On se prépare.

Une journée intense attend tout le camp.

Certains valeureux qui font la “très grande marche” vont se lever de très bonne heure. La destination ?

Schilthorn (ou Pis Gloria). James bond y a vécu des aventures vertigineuses ! Puis retour direction le Saustal pour retrouver le reste des campeurs et du staff qui eux seront passés très proche du Saushorn. Préparez-vous à de magnifiques photos à notre retour (jeudi soir) !

De nouvelles coachs sportives s’essayent au métier.

Mais quelle énergie tombé du lit (ou plutôt du matelas de paille) !

Aujourd’hui nous nous sommes intéressés au Psaume 16.

Trouver sa joie et son bonheur en Dieu n’est pas tant dans ce que je voudrais qu’Il m’accorde mais dans la relation qu’Il veut m’offrir !

Dans les temps de crise, la valeur refuge est l’or… Mais moi, est-ce que je cherche mon refuge en Jésus ?

Est-ce que je peux dire qu’Il est mon héritage, mon plus grand bien ?

Le roi David affirme être prêt à renoncer à tout ses biens et son titre pour trouver sa joie en étant connecté à Dieu, faire de Lui ses délices.

 

L’après-midi les campeurs ont pu vivre des Olympiades.

Du fun, du rire, des défis (par exemple : construire un pont entre deux tables avec des spaghettis et des marshmallow pour qu’une petite voiture tienne). Mais aussi du sport, de la dextérité, de l’art (si si ! Il était question de caricaturer l’équipe staff. Il y a des artistes en devenir !).

Mais surtout des jeunes motivés et dynamiques !

 

Aujourd’hui, la météo annonçait une journée plutôt défavorable.

Au final ? Du soleil et quelques petits nuages et la pluie qui vient uniquement au moment où l’activité de l’après-midi se termine.

En plus de cette grâce, un petit clin d’oeil magnifique du Créateur ! C’est juste splendide.

 

Soirée grisounette et pluvieuse ; un temps parfait pour une soirée Film : “la voix du pardon”.

Une histoire vraie qui se déroule au début des années 80 au Texas. Un chanteur, Bart Millard, fait carrière et devient même populaire. Mais comment gérer les plaies ouvertes du passé ?

Comment aller de l’avent et trouver la force d’avancer quand la vie a fait si mal ?

Peut-on être trop loin de l’amour de Dieu et d’une renaissance, d’un nouveau départ ?

Un temps tout en émotion ponctué de rires et de quelques yeux humides par moments.